DES VACANCES EN CAMPING!

Passer des vacances sous la tente en espérant y retrouver le luxe des
grands hôtels est bien utopique. Il est pourtant possible de vivre une expérience de camping enrichissante et très confortable. Suivez ces quelques
conseils. Vous aimerez et voudrez répéter l’expérience!

LE CHOIX DU MATELAS

Certains ne le jugent pas essentiel, mais pour la majorité d’entre nous, il fait
la différence entre un séjour réussi ou cauchemardesque! Car même si l’on
dort en pleine nature, on souhaite tout de même avoir un sommeil réparateur et éviter de se réveiller avec mille et une courbatures au petit matin.
Votre profil de campeur et le type de camping effectué détermineront
l’installation que vous privilégierez pour dormir, bien que certaines solutions soient plus encouragées que d’autres par les professionnels de la santé. Assurez-vous que votre matelas de sol favorise une position de sommeil
sur le côté ou sur le dos, en éliminant le plus possible les points de pression qui peuvent être douloureux après quelques temps.
Le matelas mi-mousse, d’une épaisseur d’une quinzaine de millimètres,
constitue un premier choix. Il a l’avantage d’être léger, isolant et peu coûteux, mais n’offre pas toujours un confort optimal. Ici, votre poids et votre
niveau d’adaptation à une surface rigide sont à considérer.

CONSEILS POUR CHOISIR SON MATELAS

  •  Le matelas pneumatique un bon support pour les muscles et les articulations,
    puisqu’il n’est pas en contact direct avec le sol. Son inconvénient : vous aurez
    à le souffler à chaque utilisation.
  • Si vous avez l’espace nécessaire et que votre dos ne supporte pas le relief des
    racines d’arbres ou du gravier, le lit de camp constituera un choix éclairé.
    Trop lourd et plus encombrant pour les campeurs nomades et sans voiture, il
    conviendra mieux aux plus sédentaires d’entre eux, d’autant plus qu’il allie
    confort et isolation thermique.
  • Le matelas autogonflant est probablement le choix qui intègre le plus d’avantages. Léger et compact lorsque roulé, il suffit de le dérouler et d’ouvrir ses valves pour qu’il se gonfle. Dans les nouveautés en matière de matelas de
    camping, il sera probablement le choix favori des professionnels de plein air,
    quoiqu’il soit légèrement plus dispendieux que les autres.

LE CHOIX DU SAC DE COUCHAGE

Le choix ne manque pas : à chaque budget et à chaque condition climatique
son sac de couchage. Peu importe le modèle, une constante demeure toutefois : le dessus d’un sac de couchage est toujours plus chaud que le dessous, car le poids de votre corps comprime toute l’isolation du dessous. C’est une raison supplémentaire pour vous munir d’un matelas de sol. Vous protégerez ainsi vos muscles et articulations du froid et vous vous réveillerez en meilleur état le lendemain matin.

Un sac de couchage de style couverture (de forme rectangulaire) ou encore de style sarcophage est une seconde option. Dans des conditions plus arides et froides, le sac de type sarcophage est à privilégier, car il conserve davantage la chaleur à l’intérieur.

Le sac couverture permet quant à lui une plus grande liberté de mouvement à celui qui le choisit.  C’est le corps qui, le premier, produit la chaleur. Si vous campez à cette période -ci de l’année, il est donc préférable de choisir un sac de couchage un peu moins isolant et d’ajouter une couverture supplémentaire au besoin, plutôt que d’être coincé avec un sac de couchage trop chaud.

En d’autres saisons et de façon générale, le duvet permet par ailleurs une meilleure respiration et une meilleure transpiration du corps que la matière synthétique.

L’oreiller

N’oubliez pas d’avoir en votre possession un oreiller de qualité afin de combler la hauteur de votre épaule et d’éviter les blessures au cou. Les oreillers de voyage peuvent dépanner, mais la sécurité et le confort ne sont pas toujours au rendez-vous. Le confort en camping, c’est possible. Et quand on le réalise, la tente n’a plus rien à envier aux établissements cinq étoiles!

Retrouvez 7 conseils pour ménager votre dos en camping sur le site de l’Association Chiropratique Canadienne 

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Si vous souffrez de problèmes neuromusculosquelettiques, notamment de
torticolis, un docteur en chiropratique est en mesure d’établir le diagnostic
chiropratique et de vous recommander un plan de traitement adéquat.

Source :  Association des Chiropraticiens du Québec

 

EXERCICES EN PISCINE

L’été bat son plein, ce qui signifie que la période de baignade aussi. Il est
donc pertinent de parler des exercices que vous pouvez faire dans l’eau
et de leurs bienfaits!  Voici 8 avantages dont vous pouvez bénéficier en faisant des exercices en piscine.

ARTICULATIONS MOINS SOLLICITÉES

L’eau vous donne une poussée hydrostatique – autrement dit, vous flottez! Cela réduit l’impact sur vos articulations, ce qui fait que lorsque vous nagez ou faites de l’exercice dans l’eau, vous risquez moins de vous blesser.

CHALEUR ÉVACUÉE RAPIDEMENT

L’entraînement peut causer des coups de chaleur, particulièrement en
plein été. En faisant vos exercices dans l’eau, vous évacuez la chaleur
plus rapidement et êtes moins susceptible de « surchauffer ». Si l’eau est
chaude, vous ne pourrez pas tellement vous rafraîchir, mais votre circulation sanguine sera meilleure, ce qui est souhaitable quand on fait de l’exercice.

DEGRÉ DE RÉSISTANCE

Comme vous pratiquez vos mouvements dans l’eau plutôt que dans l’air,
vous travaillez plus fort. Cette résistance est idéale pour développer votre
force globale et votre endurance.

Selon votre vitesse, votre position et votre forme dans l’eau, la résistance à
laquelle vous faites face varie.  Par exemple, plus vos mouvements de nage sont hydrodynamiques, plus vite vous irez et moins la résistance sera grande. En revanche, si vous faites du jogging ou de la course dans l’eau, en particulier si vous avez de l’eau au-dessus de la taille, la résistance sera beaucoup plus importante (ce genre d’exercice est souvent conseillé si vous voulez améliorer votre vitesse de course, votre force et votre endurance sur la terre ferme).

PLUS FACILE AVEC LE TEMPS

Mieux vous maîtrisez les techniques de nage, plus vous glissez efficacement
dans l’eau, ce qui vous permet de dépenser moins d’énergie et d’efforts tout
en allant plus vite. La bonne nouvelle, c’est que plus vous pratiquez et conditionnez votre corps, plus la natation devient facile.

INTÉGRATIONS DE PAUSES

Vous n’avez pas besoin d’interrompre vos exercices dans l’eau pour donner
une pause à votre corps durant un entraînement. Si vous nagez, vous pouvez
ajouter des « mouvements de repos », comme la marinière (nage sur le côté)
ou le dos crawlé, pendant une minute ou deux (ou une longueur ou deux
dans la piscine) jusqu’à ce que vous ayez récupéré.

ADAPTATION GRADUELLE

L’avantage de la natation, c’est que vous pouvez apporter des changements
graduels à votre routine sans grande difficulté. Augmentez simplement le
temps que vous passez à nager, de façon constante, et faites des pauses plus
courtes – ou encore remplacez vos pauses par des mouvements de repos.

SOUPLESSE DES ARTICULATIONS ET RAFFERMISSEMENT DES MUSCLES

Étant donné le faible impact de l’exercice dans l’eau, vos articulations restent
souples. De plus, compte tenu de la résistance qu’offre l’eau, vous gardez vos
muscles bien fermes.

SOUTIEN DU CORPS

Non seulement l’exercice dans l’eau est à faible impact, mais il est excellent
pour le soutien. Votre dos vous dira merci! En effet, vous n’avez pas à vous
soucier du poids qu’exerce votre corps sur votre colonne, ni de votre posture
lorsque vous vous déplacez dans l’eau. Si vous n’êtes pas un adepte de la natation, vous pouvez quand même effectuer des exercices légers dans l’eau :
entraînez-vous à marcher dans la piscine, avec de l’eau jusqu’à la taille, pour
relâcher la pression sur vos articulations et votre dos tout en faisant des
mouvements. Prenez rendez-vous avec votre chiropraticien de confiance afin de connaître les exercices en piscine les plus adaptés à votre situation!

Source:

Association des Chiropraticiens du Québec

Association chiropratique Canadienne

burst.shopify.com

À VOS RAMES!

Avec le beau temps estival, plusieurs adeptes de sports nautiques de rame naviguent sur les lacs et rivières du Québec. Voici donc quelques conseils afin de diminuer le risque de blessures et maximiser votre plaisir.

BIEN SE PRÉPARER POUR BIEN S’AMUSER

Comme c’est le cas pour toutes les activités physiques, il faut se rappeler que l’adaptation de votre corps aux exigences des sports de rame nécessite un certain temps. La meilleure façon de prévenir les blessures est de faire des efforts de courte durée et de faible intensité, entrecoupés de périodes de repos fréquentes. Comptez de 6 à 10 sorties avant que votre dos, vos jambes et vos épaules soient mieux adaptés aux exigences de votre sport.

Laissez glisser l’embarcation le plus longtemps possible entre chaque coup de pagaie. De plus, recherchez un mouvement rythmé qui permettra à votre embarcation de se déplacer avec le moins d’effort possible. Que ce soit en bateau dragon, en canoë-kayak, en aviron, ou sur la populaire planche «stand up», l’efficacité optimale du coup de pagaie nécessite non seulement l’activation des muscles des épaules et des bras, mais doit aussi inclure une poussée des jambes et une rotation du tronc.

LA RAME, PAS JUSTE UN TRAVAIL DE BRAS

Cela permet l’utilisation des muscles du dos et des abdominaux.
L’objectif est de mettre à contribution la plus grande masse musculaire possible. Le tout doit se faire en synergie avec un minimum de traction provenant des bras.

LE COUP DE PAGAIE

Lors d’un coup de pagaie, la force développée par le corps n’est pas transmise à un levier fixe comme c’est le cas sur la pédale d’un vélo. C’est-à-dire que dans l’eau, la pagaie est libre de se mouvoir de mille et une façons. Par conséquent, le coup de pagaie est considéré comme un mouvement complexe. Donc, afin de diminuer la fréquence des courbatures, tenter d’obtenir quelques conseils techniques auprès d’un entraîneur certifié. Cela vous fera progresser plus rapidement.

PRÉVENIR LES BLESSURES

Lors de longue randonnée et malgré une technique optimale, l’apparition de douleur au dos, au-dessus et sur le côté des épaules, est normale.  Effectuez quelques exercices d’assouplissement efficaces pour prévenir et contrôler les inconforts reliés aux mouvements impliqués dans la pratique des sports de rame et de pagaie. Demandez-en le détail à votre chiropraticien, il pourra vous conseiller.

L’APPORT CHIROPRATIQUE

Donc, si vous expérimentez une douleur ou l’inconfort qui persiste au-delà de quelques jours, n’hésitez pas à consulter votre docteur en chiropratique. Quelques séances de thérapies musculaires, combinées à des ajustements chiropratiques sont habituellement suffisantes pour régler le problème rapidement.

N’oubliez pas que sur l’eau, un accident est vite arrivé.  De plus, le port d’une veste de flottaison adaptée à votre morphologie peut vous sauver la vie. Une fois à l’eau, il est trop tard pour y penser!

SAVIEZ-VOUS QUE?

Le mot «chiropratique» provient du grec et signifie «fait avec les mains». Le docteur en chiropratique est un professionnel de la santé de premier contact.  Vous pouvez donc le consulter sans être recommandé, à part les cas de CNESST et SAAQ.

De par sa formation universitaire, le chiropraticien possède les compétences nécessaires pour poser un diagnostic chiropratique. Cela lui permet de créer un programme de soins correspondant à votre condition physique, à votre âge et à vos objectifs de santé.  La chiropratique centre sa philosophie, son art et sa science sur le maintien de l’homéostasie (équilibre) du corps humain et sur sa capacité innée de guérison naturelle. Elle ne se concentre pas uniquement sur les symptômes ou la douleur. Elle cherche plutôt à identifier et à soigner la cause du problème.

Source: Association des Chiropraticiens du Québec

Source photo: https://burst.shopify.com/photos/red-kayak?q=kayak

Avec la collaboration spéciale du Conseil Chiropratique des Sciences du Sport du Québec | ccssq.ca
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LES DOULEURS AU TRAVAIL

Pour être plus actif au travail, téléchargez l’application gratuite Allez bougez Canada!   www.chiropratique.com

Vous ressentez de la gêne ou des douleurs spécifiques à votre travail? Les gestes répétitifs vous font souffrir? Vous avez de plus en plus d’inconfort à effectuer vos tâches quotidiennes professionnelles? Peut‐être souffrez‐vous d’un trouble musculo‐squelettique.

LES TMS EN BREF

Tendinites des épaules, syndromes du canal carpien, douleurs au coude, lombalgies… Les troubles musculo‐squelettiques, appelés TMS, recouvrent une quinzaine de pathologies professionnelles. Ces troubles figurent parmi les problèmes de santé au travail les plus répandus. Les TMS atteignent les muscles, les tendons et les nerfs des membres supérieurs et inférieurs de votre corps.  Selon la CNESST, le nombre de lésions de type TMS a augmenté de 10% entre 2014 et 2017. Parmi l’ensemble des sièges identifiés, la région lombaire , de l’épaule (incluant la clavicule et l’omoplate) et la région dorsale cumulaient plus de 60 % des lésions de type TMS.

LE SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN

Parmi les TMS les plus répandus et les plus connus, le syndrome du tunnel carpien est souvent associé à la sur-utilisation de la souris à un poste d’ordinateur.

Il se manifeste par des sentiments de fourmillements ou d’engourdissements des doigts qui apparaissent d’abord la nuit. Par la suite, ils deviennent de plus en plus fréquents au courant de la journée. Les facteurs comme la main serrée sur la souris, les appuis sur la paume ou le poignet et la répétition des gestes de flexion et d’extension peuvent engendrer un trouble musculo‐squelettique de la main.

LES CAUSES

Les activités professionnelles qui impliquent des mouvements fréquents et répétitifs ou ceux qui imposent au corps une posture non naturelle peuvent être responsables de vos douleurs. L’augmentation des TMS résulte d’une combinaison de facteurs. Les facteurs biomécaniques sont dus à la répétition des gestes, les efforts excessifs, les postures non naturelles, les angles articulaires extrêmes, exposition au froid ou encore aux vibrations. Les facteurs psychosociaux font référence à la perception que vous avez de votre travail. En effet, le degré insatisfaction, de tension et le manque de reconnaissance peuvent avoir des répercussions négatives sur votre corps. Parmi les mouvements répétitifs les plus à risque, on retrouve :
* Les postures fixes ou contraintes
* La répétition permanente des gestes
* La concentration de la force sur de petites parties de votre corps (mains,       doigts, poignets)
* Le manque de récupération efficace après l’effort
* La chaleur, le froid, les vibrations

LES TRAITEMENTS

La diminution des mouvements qui créent les lésions et les douleurs musculo‐squelettiques demeure la solution la plus efficace. Par la douleur, votre corps vous manifeste une incapacité à pouvoir répondre aux efforts constants. Il est donc recommandé de restreindre ces gestes qui vous blessent. Il est également possible de porter une attelle afin de limiter ou mobiliser articulation douloureuse.

L’application du froid ou encore des exercices spécifiques permettent de réduire la douleur et l’inflammation que les lésions provoquent.  Les exercices d’assouplissement sont souvent nécessaires, car ils stimulent la circulation sanguine et réduisent par le fait même la tension musculaire.

En cas apparition de TMS, n’hésitez pas à consulter un docteur en chiropratique pour bénéficier de soins efficaces et personnalisés à votre problème, ainsi que pour en savoir plus sur les programmes d’exercices bénéfiques pour votre santé. Un TMS mal soigné peut s’aggraver, ce qui allonge la durée du traitement et de convalescence, et peut développer des complications d’ordre neurologique beaucoup plus graves.

Prenez soin de votre corps et il prendra soin de vous!

Source:

https://www.chiropratique.com/DATA/CAPSULE/482_fr~v~lesions-professionnelles-tms-23-au-29-juin-2019.pdf
Association des chiropraticiens du Québec | chiropratique.com| facebook.com/AssoDesChirosQc | twitter.com/AssoChiroQc | blogue.chiropratique.com |
www.irsst.qc.ca | www.rrsstq.com | www.polymtl.ca | www.cchst.ca, Consulté le 28-05-19
https://www.cchst.ca/newsletters/hsreport/issues/2009/02/ezine.html, Consulté le 28-05-19
https://www.cnesst.gouv.qc.ca/Publications/300/Documents/DC300-322-4web.pdf, Consulté le 28-05-19
http://www.stat.gouv.qc.ca/statistiques/sante/etat-sante/sante-globale/sante-quebecois-2014-2015.pdf, Consulté le 28-05-19

C’est 1er juillet ? ON DÉMÉNAGE !

Vous déménagez sous peu? Prenez les mesures nécessaires pour éviter les blessures neuromusculosquelettiques dues à ce déménagement. Bouger les meubles avec le sourire et sans douleur c’est possible, à condition de s’y préparer adéquatement.

Chaque année, il y a une recrudescence de patients qui consultent en chiropratique durant cette période exigeante physiquement. Ceci n’étonne pas, lorsque l’on sait que beaucoup de gens, gagnés par la hâte et la fatigue, s’empressent de tout terminer sans se soucier de leurs muscles et de leur dos. C’est pourquoi les hernies discales, les lombalgies et les courbatures sont si fréquentes durant cette période.

Voici commencer les éviter!

Visionnez les chirotrucs sur le déménagement avec Daniel Melançon

AVANT

  • Faites vérifier l’état de votre santé neuromusculosquelettique par votre chiropraticien avant d’attaquer ce projet exigeant physiquement.
  • Utilisez des boîtes de taille moyenne ou petite et évitez de les surcharger.
    • Choisissez des boîtes munies de poignées pour faciliter la préhension.
    • De plus, invitez famille et amis à venir vous donner un coup de main.

      PENDANT

    • Échauffez-vous avant de commencer à déplacer le contenu de votre résidence.
    • Prenez des pauses régulièrement et hydratez-vous.
    • Penchez-vous en pliant les genoux et non le dos.
    • Soulevez votre charge en utilisant la force de vos jambes.
    • Demandez de l’aide pour soulever les charges très lourdes.
    • Gardez la charge près de votre corps afin de diminuer la tension sur les muscles et les articulations.
    • Et finalement, évitez les torsions du haut du corps quand vous déposez une boîte. Pivotez plutôt avec les pieds.

      APRÈS

    • Étirez-vous après le transport manuel des items de manière à éviter les douleurs musculaires.
    • Consultez votre chiropraticien si vous ressentez des courbatures ou des douleurs qui persistent au-delà de 48 heures. De plus, avant de préparer vos boîtes, rendez visite à votre docteur en chiropratique. Il pourra vous outiller pour vous aider à diminuer le risque de blessures lors de votre déménagement. La prévention c’est la clé!

    Source: Association des chiropraticiens du Québec

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Accro aux textos?

La technologie s’immisce dans nos vies quotidiennes à la vitesse grand V. En 2018, environ 15 220 700 messages texte par minute étaient envoyés à travers le monde! Pour plusieurs, le texto est devenu l’outil de communication principal sans compter tous les autres gadgets disponibles avec les téléphones et tablettes. Regardez autour de vous : les téléphones intelligents, les consoles de jeu portatives, les lecteurs MP3, les livres et les tablettes électroniques foisonnent!

LE TEXT NECK SYNDROME

L’utilisation de plus en plus fréquente et prolongée de tous ces appareils entraîne une recrudescence de certains problèmes de santé. Ces derniers sont constatés régulièrement dans les cliniques chiropratiques, et affectant particulièrement le cou. C’est d’ailleurs un chiropraticien américain qui a désigné les conditions et les blessures causées par l’utilisation excessive des appareils technologiques sous le terme de text neck syndrome. Comme ce sont les jeunes qui sont les plus grands utilisateurs de ce genre de gadgets, les effets à long terme peuvent s’avérer catastrophiques s’ils ne rectifient pas leur posture.

Visionnez la capsule video de Daniel Melançon sur les bonnes postures avec un cellulairecou de texto

LA TÊTE AU GARDE-À-VOUS!

La posture déficiente souvent adoptée pour l’utilisation de ces appareils, la flexion du cou accentué par le poids de la tête penchée vers l’avant, entre autres, a des conséquences sur la santé neuromusculosquelettique des utilisateurs.

Il existe une forte association entre une posture de la tête vers l’avant et une diminution de la force des muscles respiratoires. Cette posture est reconnue pour entraîner l’élongation musculaire, augmenter les problèmes de tunnels carpiens et augmenter les risques de hernies discales. De plus, lorsque la tête est avancée d’un pouce vers l’avant. Par conséquent, cela augmente le poids de celle-ci sur la colonne vertébrale de dix livres supplémentaires. Finalement, la position de la tête en avant augmente la compression des disques et peut causer une arthrose précoce. Les effets combinés des claviers microscopiques, des postures tendues et des mouvements répétitifs ne sont que quelques-uns des facteurs qui augmentent les malaises ressentis par les « accros du texto ».

LES DANGERS DE LA TECHNO

Les messages texte étant le mode de communication principal des adolescents. Il devient impératif de les éduquer sur la bonne posture à adopter lorsqu’ils s’adonnent à leur passe-temps favori. Sinon, les conséquences sur leur santé peuvent être importantes à long terme. Les symptômes les plus fréquents liés au syndrome du cou texto sont les maux de tête, la raideur de la nuque et du dos, les douleurs aux poignets et aux épaules, des engourdissements dans les mains et la perte de la courbe naturelle du cou pouvant engendrer des problèmes d’arthrose à long terme.

COMMENT ÉVITER LE SYNDROME DU COU TEXTO?

  • Prenez des pauses fréquentes lorsque vous utilisez les appareils technos.
  • Gardez le cou droit et le téléphone à la hauteur des yeux.
  • Ne coincez pas le téléphone entre votre oreille et votre épaule.
  • Déposez votre tablette ou ordinateur portable sur une table lorsque cela est possible. Sinon tentez de supporter vos coudes et de demeurer le dos le plus droit possible.

SOUFFREZ -VOUS DE NOMOPHOBIE ?

Le besoin de rester connecté, d’être joignable en tout temps, peut devenir une dépendance.  Il peut même se transformer en une peur morbide de ne pas avoir son téléphone portable sous la main, appelé nomophobie. Renouez avec le plaisir du contact direct et chaleureux avec les gens.  Considérez-le même comme une activité à saveur rétro! Si vous devez, malgré tout, utiliser ce type d’appareil de manière prolongée pour le travail ou même pour vos loisirs, votre chiropraticien vous indiquera la bonne posture à adopter selon votre cadre d’utilisation. Par conséquent, cela permettra d’en minimiser les impacts sur la santé de votre système neuromusculosquelettique.

Source

Alternative aux opioïdes

Les opioïdes sont devenus l’un des principaux traitements des douleurs chroniques non-cancéreuses. À l’échelle mondiale, le Canada est actuellement le deuxième consommateur d’opioïdes d’ordonnance, souvent liés selon des études à des douleurs lombaires et autres troubles musculosquelettiques. Toutefois, il est maintenant clair que les risques et les dommages associés aux opioïdes, notamment la dépendance et la toxicomanie, dépassent souvent largement leurs avantages. La crise des opioïdes ne représente pas seulement un enjeu de toxicomanie, mais également de traitement de la douleur.

MÉTHODE NON PHARMACOLOGIQUE

Les chiropraticiens interviennent souvent comme prestataires de soins primaires. C’est-à-dire qu’ils évaluent, diagnostiquent et traitent les troubles musculosquelettiques au moyen de thérapies manuelles non effractives et non pharmacologiques (manipulation et mobilisation articulaire, thérapie des tissus mous et autres approches complétées par des programmes d’exercice et de réadaptation, par exemple). Le docteur en Chiropratique a également les compétences nécessaires pour élaborer un plan de traitement éprouvé pour soulager les douleurs et améliorer les fonctions, ainsi que pour vous diriger vers d’autres professionnels au besoin.

LES OPIOÏDES EN CHIFFRES

Près de 80% des Canadiens ont déjà pris des médicaments pour gérer leur douleur. Plus de 5 millions d’entre eux ont eu recours en premier lieu à des opioïdes ou à des analgésiques.

LE RÔLE DES CHIROPRATICIENS

Les chiropraticiens jouent un rôle important dans la gestion des douleurs au dos et autres problèmes neuromusculosquelettiques. En tant qu’experts en santé musculosquelettique, ils traitent 4,5 millions de Canadiens tous les ans.

En cas de douleurs musculosquelettiques, consulter un chiropraticien s’avère être une bonne option, puisqu’il possède les connaissances et les compétences nécessaires pour évaluer et diagnostiques les causes sous-jacentes de ce type de maux.

Sources:
  1. Réponse des chiropraticiens à la crise des opioïdes  Association Chiropratique Canadienne
  2. L’ Association Chiropratique Canadienne approuve l’action de Santé Canada
  3. Association Chiropratique Canadienne applaudit les nouvelles recommandations sur les opioïdes thérapeutiques
  4. Association des chiropraticiens du Québec

En finir avec les migraines

Le fait que les femmes soient majoritairement touchées par les migraines a contribué à la fausse conception, à une certaine époque, que les migraines étaient un mal d’ordre psychologique. Encore aujourd’hui, la science arrive difficilement à établir la cause précise des migraines. On sait toutefois que le stress, la fatigue, les changements hormonaux, la prise de contraceptifs oraux et l’alimentation sont des facteurs qui peuvent en déclencher l’apparition. La migraine touche environ 12% des adultes au Canada et les femmes seraient trois fois plus affectées que les hommes. Pourquoi?

LA GRANDE FAMILLE DES CÉPHALÉES

Il y aurait plus de 120 types de céphalées, désignées dans le langage courant de « maux de tête ». Ce terme regroupe plusieurs types d’affectations dont la douleur varie en intensité. La migraine et la céphalée de tension, bien distinctes, sont les deux « maux de tête » les plus souvent rencontrés. La migraine est une forme de céphalée qui revient de façon récurrente, qui non traitée peut durer de 4 à 72 heures et qui s’accompagne, chez certains individus, de troubles visuels et/ou digestifs, ainsi que d’une hypersensibilité à la lumière et aux sons. La céphalée de tension, plus fréquente, s’explique quant à elle par des tensions au niveau des muscles de la mâchoire, du visage, du cou et des épaules. La personne en souffrant ressentira fréquemment une sensation de serrement au niveau du front et des tempes.

MIGRAINE OU MAL DE TÊTE?

Plusieurs femmes souffrant de migraines peuvent croire à tort qu’elles n’ont qu’un simple mal de tête. La différence n’est pas facile à faire puisque ces deux types de céphalées peuvent se manifester en même temps. Il est également possible qu’une céphalée de tension puisse se transformer en migraine. Une migraine, contrairement à un mal de tête, affectera souvent un seul côté de la tête et donnera la sensation d’une pulsation. La personne souffrant de migraines pourra également endurer des nausées et avoir de la difficulté à tolérer les sons et la lumière.

POURQUOI LES FEMMES?

C’est en partie la grande incidence des changements hormonaux sur l’apparition des migraines qui cible les femmes comme les plus à risque d’en souffrir. Les fluctuations hormonales reliées au cycle menstruel, et plus particulièrement la chute de l’oestrogène en fin de cycle, peuvent provoquer des crises migraineuses. D’ailleurs, les migraines sont plus fréquentes à partir de la puberté, et de l’apparition des menstruations, et tendent à disparaître à la ménopause.

LA CHIROPRATIQUE À LA RESCOUSSE

Les tensions provoquées par les céphalées peuvent être dues à un mauvais mouvement ou à un mauvais positionnement des vertèbres cervicales. On parlera alors de subluxation vertébrale. Une étude publiée dans le Journal of Manipulative & Physiological Therapeutic a démontré que 84% des participants souffrant de migraines ou de maux de tête dus à la tension souffraient d’au moins deux importantes subluxations au niveau cervical. Pour remédier à cette dysfonction, l’ajustement chiropratique stimule le système nerveux en rétablissant la mobilité des vertèbres cervicales. Cela entraîne la relaxation des muscles cervicaux et le soulagement de la douleur causée par la tension.

PRENEZ LE CONTRÔLE

Vous souffrez de migraines fréquentes? Il est conseillé de tenir un journal afin de plus facilement en identifier les déclencheurs. Dès lors, vous pourrez agir plus rapidement à l’apparition des symptômes. Le docteur en chiropratique pourra évaluer, avec la personne souffrant de migraines, les aspects de son mode de vie qui peuvent avoir une incidence sur la fréquence et la sévérité des crises, de manière à mieux contrôler les attaques et possiblement les éliminer. Suivez les conseils suivants pour diminuer l’emprise des migraines sur votre vie :

• Tâchez de réduire votre niveau de stress

• Faites de l’exercice physique

• Mangez équilibré, sans sauter de repas

• Dormez suffisamment, de 6 à 8 heures par nuit

Prenez votre santé en main, visitez votre chiropraticien régulièrement!

Source:

Association des chiropraticiens du Québec

Statistiques Canada

Passeport Santé

Cervicogenic dysfunction in muscle contraction headache and migraine: a descriptive study. Vernon H, Steiman I, Hagino C. J Manipulative Physiol Ther. 1992 Sep;15(7):418-29.

Le syndrome de la tête plate

Avec l’arrivée d’un nouveau-né à la maison, plusieurs questionnements surviennent. Une grande préoccupation de tous les parents est la prévention de la tête plate. Il est donc important de comprendre comment elle se produit afin de trouver des solutions pour la prévenir.

QU’EST-CE QUE LA PLAGIOCÉPHALIE?

La plagiocéphalie désigne un aplatissement au niveau du crâne qui survient suite à une pression externe prolongée sur la tête de bébé. Le crâne de bébé est très malléable à la naissance en raison de l’absence d’ossification au niveau des sutures, c’est-à-dire des jonctions entre les différents os du crâne. Cette malléabilité persiste quelques mois et commence à diminuer vers le quatrième mois de vie de l’enfant. Il est donc important de profiter de cette période pour effectuer les traitements nécessaires à la diminution de l’aplatissement. La plagiocéphalie peut entraîner des retards au niveau du développement moteur global de l’enfant dans ses premiers mois de vie. Il est donc important de s’en préoccuper. Ainsi, plus un enfant est évalué rapidement à la naissance, moins la plagiocéphalie aura d’impacts.

QUELLES SONT LES CAUSES POSSIBLES DE LA PLAGIOCÉPHALIE?

• La position intra-utérine; c’est-à-dire la position dans laquelle était bébé à l’intérieur de l’utérus (manque d’espace)

• La diminution de la mobilité cervicale peut faire en sorte que bébé garde toujours sa tête dans la même position

• La diminution de la mobilité cervicale peut être causée, par exemple, par la position intra-utérine, par l’utilisation de forceps ou de la ventouse lors de l’accouchement

• Positionner bébé toujours sur le dos

QUELS SONT LES SIGNES À OBSERVER QUI POURRAIENT INDIQUER LA NÉCESSITÉ D’UNE CONSULTATION EN CHIROPRATIQUE POUR MON NOUVEAU-NÉ ?

• Bébé a une préférence à maintenir sa tête toujours à gauche ou à droite

• Bébé ne peut relever sa tête et se pousser avec ses avant-bras vers l’âge de trois mois

DE QUELLE FAÇON LA CHIROPRATIQUE PEUT-ELLE AIDER À PRÉVENIR OU DIMINUER LA PLAGIOCÉPHALIE?

Par des manipulations adaptées aux enfants, les soins chiropratiques permettent de :

• Rétablir la mobilité cervicale

• Assouplir la musculature cervicale

• Conseiller les parents sur différents exercices à faire avec bébé afin de favoriser son développement moteur

Un suivi régulier chez le docteur en chiropratique permet d’identifier les sources possibles de dysfonctions vertébrales et ainsi contribue à prévenir l’apparition de problèmes futurs. En plus des ajustements chiropratiques, les soins peuvent inclure des recommandations pour un style de vie sain comme des façons d’améliorer la posture de votre enfant, des conseils sur le port du sac à dos et des exercices.

Une bonne hygiène vertébrale est la clé d’une santé optimale.

Source: Association des chiropraticiens du Québec

La chiropratique et l’allaitement

bébé qui est allaité

Au cours des 20 dernières années, l’allaitement a gagné en popularité. Plusieurs recherches démontrent les bénéfices de l’allaitement sur les plans nutritionnel, immunologique, digestif, neurologique, développemental, psychologique et émotionnel.

Plusieurs facteurs vont affecter le fait que le bébé soit capable de prendre le sein adéquatement et poursuivre l’allaitement pour une longue période de temps. Un facteur souvent oublié est l’implication des composantes musculo-squelettiques et du système nerveux de l’enfant dans l’allaitement.

INDICATEURS LES PLUS COMMUNS DE DIFFICULTÉS AU NIVEAU DE L’ALLAITEMENT :

Chez bébé:

  •  ne peut bien prendre le sein
  • a de la difficulté à maintenir une bonne succion
  • ne peut qu’être nourris dans une position ou toujours au même sein
  • semble toujours insatisfaits au sein
  • pleurent souvent

Chez la maman

  • Blessures au sein de la mère

OPTIMISER L’EXPÉRIENCE DE ALLAITEMENT

Les chiropraticiens peuvent avoir une grande influence sur le patron de tétée du nouveau-né. De plus en plus de consultantes en lactation réfèrent en chiropratique. Cette approche aide le nouveau-né à parvenir à une tétée optimale et à diminuer les symptômes de la mère. Il en va de la responsabilité du chiropraticien de comprendre le processus de l’allaitement afin d’aider le patient. Il peut être très intéressant d’intégrer la chiropratique dans un contexte multi-disciplinaire afin d’optimiser l’expérience de l’allaitement autant pour la mère que pour l’enfant.

Lors de l’évaluation du bébé, il est important de comprendre la mécanique et les étapes à suivre afin d’obtenir une prise du sein normale. Dans son étude, Righard (1998) estime que 94% des mères qui font face à des problèmes dans leur allaitement ont un positionnement incorrect et une mauvaise mise au sein.

Mobilité cervicale

Lorsque l’allaitement est plus difficile, il est important de considérer que des dysfonctionnements musculo-squelettiques chez l’enfant peuvent être impliqués. Le bébé doit avoir une excellente mobilité cervicale de façon à pouvoir effectuer une bonne extension de sa tête afin de prendre le sein correctement. Ainsi, l’amplitude de mouvement de la colonne cervicale et l’intégrité de la musculature doit être évaluée. Une diminution de la rotation cervicale dans une direction pourrait faire en sorte que la prise du sein gauche ou droit, selon le cas, soit plus difficile.

Articulation temporo-mandibulaire

L’articulation temporo-mandibulaire ne devrait également présenter aucune restriction. Une restriction empêcherait le bébé d’ouvrir la bouche assez grande pour prendre le sein. Une tension dans les muscles autour de l’articulation comme le masséter, le temporal ou les ptérygoïdiens peut causer un problème. L’intégrité du système nerveux, particulièrement les nerfs crâniens, joue un rôle primordial afin que tous les réflexes primitifs impliqués dans l’allaitement, comme la succion et la tétée, fonctionnent correctement.

Le chiropraticien peut avoir un effet important lorsque le traitement vise toutes les composantes biomécaniques impliquées. L’intérieur de la bouche de l’enfant devrait aussi être examiné afin de vérifier la hauteur du palais et de s’assurer que le frein de la langue n’est pas trop court, ce qui pourrait perturber la tétée.

LE TRAITEMENT CHIROPRATIQUE POSTNATAL

L’allaitement et les premiers temps de la maternité sont une période au cours de laquelle la femme peut être sujette à différents maux. Suite à l’accouchement, la femme peut ressentir diverses douleurs au bas du dos résultant de tensions au niveau des muscles et/ou de restrictions articulaires. Aussi, la posture adoptée lors de l’allaitement ou en donnant le biberon peut créer des tensions entre les omoplates et à la région cervicale.

Le traitement chiropratique chez la femme et l’enfant aura pour but de restaurer la fonction nerveuse. Cela permet au corps de s’exprimer et de parvenir à un état de bien-être et de santé. Le traitement permet aussi d’améliorer l’alignement propre et la mobilité des segments vertébraux. Chez le nourrisson, l’ajustement vertébral se fait à l’aide du bout du doigt et la pression exercée est très légère, semblable à un effleurement.

Un suivi régulier

Un suivi régulier chez le chiropraticien permet d’identifier les sources possibles de dysfonctions vertébrales. De plus, il permet de prévenir l’apparition de problèmes futurs. Une bonne hygiène vertébrale est la clé d’une meilleure santé.

Pour plus d’informations, n’hésitez pas à poser vos questions à votre chiropraticien(ne).

Source et références:

Association des chiropraticiens du Québec | blogue.chiropratique.com

Arcadi V., Birth induced temporomandibular dysfunction: the most common cause of breastfeeding difficulties.

Proceedings of the national conference chiropractic and Pediatrics, 1993, Arlington VA: international chiropractic association.

Canadian Paediatric Society, Dieticians of Canada and Health Canada, Nutrition for Healthy Term Infants, Minister of Public Works and Government Services, Ottawa, 1998.

Crowell MK, Humenick SS., Relationship between obstetric analgesia and time of breastfeeding, J nurse Midwifery 39(3):10-56, 2004.

Fallon Joan, Chiropractic and pregnancy: A partnership for the future, ICA International Review of chiropractic November/December 1990

Forrester Judy, Chiropractic care during the third trimester of pregnancy, Canadian Chiropractor magazine Aug 1996, vol #2, p.37

Ligue La Leche, Traité de l’allaitement maternel, Édition révisée, 1999.

Ohm Jeanne, Breastfeeding difficulties and chiropractic, Pathways to family wellness, 2005, vol 11, p.24-25.

Ransjo-arvidson AB et al., Maternal analgesia during labor disturbs newborn behavior: effects on breastfeeding, temperature and crying, Birth, 2001, 28 (1):5-11.